Parking Lebon : réponse au maire
Octobre 2011
"Trop, c'est trop !"
A l'évidence, Mme Brousteau ne digère ni la critique, ni la contestation et prend ses désirs pour des réalités. Presqu'une page et demie pour répondre à Eliette Trouche !
Limités par l'espace qui nous est alloué, nous ne traiterons que du parking Lebon.
- Nous aurions "trafiqué" le plan.
Désir mais pas réalité : nous avons changé certaines couleurs et ajouté des indications fléchées sans toucher au plan lui-même.
- Nous aurions "tronqué une partie" notamment le titre
Désir mais pas réalité : "Traduction possible", est-il écrit. Pourquoi le tronquer? C'est possible donc faisable, probable, vraisemblable, réalisable, …
- Nous voudrions faire croire que l'on va construire des barres d'immeubles …
Désir mais pas réalité : cela n'a jamais été écrit.
- … qui ne correspondent pas au "Dessin pour le Peymeinade de demain … présenté … plus loin".
Désir mais pas réalité : le cabinet CITTA a écrit dessein. Faut-il rappeler qu'un dessein est un projet, un but, une intention ? Alors qui manipule qui ? "Le programme …" (p.25/26) montre bien que les ¾ du parking Lebon ont disparu au profit d'habitations et d'immeubles (pas des barres!). Sur le montage de la page 26, ne subsiste que le quart NE du parking actuel.
- Mme Brousteau consacre une page entière à tenter de se justifier …
pour finalement, sous le titre "La réalité", reconnaitre qu' "Effectivement deux immeubles sont dessinés … à l'emplacement du parking".
Peut-être pas désir mais réalité : tout çà pour en arriver là ? Lamentable !
- Pour terminer, elle ajoute "Cela ne signifie pas qu'ils seront réalisés".
Mais alors, pourquoi les constructions figurent-elles sur les plans ? Pourquoi avoir présenté ce projet au public ?
Désir ou réalité : désir de "tester" l'opinion publique ? Ou réalité : le cabinet CITTA n'a pas reçu de consigne ou il ne les a pas respectées ?
Quant au goudronnage, il ne garantit strictement rien. "Paris vaut bien une messe", aurait dit Henri IV. Masquer une reculade, tenter de sauver la face valent bien 7.604 € … d'autant qu'ils sortent de la poche des Peymeinadois. La vigilance s'impose !